Dans l’univers mystique de la Kabbale et des traditions ésotériques, certaines figures célestes occuperaient une place particulière. Vasariah en ferait partie, évoqué comme une présence liée à la justice, à la sagesse et au pardon. Ces entités, bien qu’absentes des corpus scientifiques, continuent de nourrir les réflexions symboliques de nombreux chercheurs spirituels. Vasariah serait perçu comme un guide pour celles et ceux qui souhaitent avancer avec intégrité, tout en développant discernement et compréhension. Ces figures ne sont pas des réalités tangibles, mais des archétypes puissants dans les systèmes de croyances anciennes. Elles offrent un miroir intérieur, une direction symbolique pour accompagner la quête de sens. Cet article explore les différentes facettes de Vasariah : son origine, sa fonction, ses correspondances astrologiques et les pierres naturelles qui lui seraient associées. À travers ce voyage, nous découvrons un monde où chaque symbole devient langage.
Origines et présence dans les textes
Vasariah est mentionné dans la tradition kabbalistique comme le 32e nom divin issu du Shemhamphorash. Ce système mystique repose sur la combinaison spécifique de lettres extraites de trois versets des Psaumes. Vasariah serait associé au pardon, à la mémoire spirituelle et à la connaissance du bien. Les anciens textes ésotériques affirment qu’il inspirerait la clémence, la réflexion et une forme d’intelligence tournée vers la compréhension des lois universelles. Bien que la Bible ne le cite pas explicitement, certaines figures présentes dans les textes sacrés exprimeraient des valeurs similaires. On retrouve d’ailleurs dans les écrits chrétiens ou musulmans des entités lumineuses qui accompagneraient l’être humain sur le plan moral ou éthique. La mystique juive, notamment à travers le Zohar, évoque également des forces subtiles liées à l’équilibre et à la miséricorde. Vasariah représenterait ainsi une figure de sagesse apaisée, tournée vers la justice douce et la vérité intérieure.
Sphère céleste et noms donnés
Dans la hiérarchie spirituelle, Vasariah appartiendrait au chœur des Dominations. Cette sphère, selon les textes traditionnels, aurait pour fonction de réguler les influences célestes et de transmettre les lois divines de manière équilibrée. Les Dominations ne dirigeraient pas par la force, mais par la clarté, la mesure et la loyauté. Dans ce contexte, Vasariah serait un émissaire discret de ces principes, attaché à l’harmonie entre pensée, parole et acte. Certains récits lui attribuent le surnom de « gardien de la justice silencieuse », car il symboliserait une justice fondée sur la compréhension plutôt que la rigueur. D’autres traditions parlent de lui comme du « sage éclaireur », image d’un être tourné vers l’enseignement subtil. Ces appellations sont issues de récits symboliques transmis de génération en génération. Elles participent à la construction d’un imaginaire riche, où chaque nom résonne avec des valeurs intérieures fortes et profondes.
Vasariah : signe, chakra et heure
Vasariah serait relié au signe astrologique de la Vierge, signe réputé pour sa rigueur, son sens du détail et sa capacité d’analyse. Cette correspondance renforcerait l’image d’un esprit ordonné, aimant l’équité et le service juste. Son élément serait la Terre, élément de stabilité, de constance et d’incarnation concrète. La planète associée serait Mercure, symbole de l’intelligence, du langage et du discernement. Sur le plan énergétique, Vasariah correspondrait principalement au chakra de la gorge, centre symbolique de l’expression sincère, mais aussi au chakra du cœur, lié à la compassion équilibrée. Ces centres offriraient, selon certaines traditions, un ancrage énergétique permettant d’incarner la vérité avec douceur. L’heure miroir 13h33 serait souvent associée à Vasariah. Cette séquence numérique serait interprétée comme un appel à se reconnecter à une vérité intérieure, à se libérer d’un jugement excessif ou à adopter une posture plus juste face à une situation. Ces lectures relèvent du symbolisme et de l’intuition personnelle.
Pierres naturelles et symboliques
Plusieurs pierres naturelles seraient traditionnellement associées à Vasariah. L’angélite, d’un bleu clair apaisant, symboliserait la paix intérieure et la communication fluide. La sodalite, pierre de logique et de vérité, renforcerait la pensée claire et la parole mesurée. Le quartz bleu, moins courant, serait lié à l’apaisement et à l’écoute. L’aventurine verte, quant à elle, représenterait l’harmonie du cœur et la bienveillance. Ces pierres ne possèdent aucune propriété démontrée scientifiquement, mais elles offrent un support symbolique fort dans de nombreuses traditions spirituelles. Elles sont souvent utilisées lors de méditations ou portées au quotidien comme rappel de certaines intentions profondes. Le choix de la pierre dépendrait des qualités que l’on souhaite développer ou équilibrer en soi. Ainsi, en résonance avec les énergies attribuées à Vasariah, ces minéraux pourraient servir de compagnons symboliques dans un cheminement personnel centré sur la paix, la sagesse et la justice intérieure.
